Geneviève Moreau est la mairesse de Choranche, et
Laurent Drouot est son adjoint. Or, pour des raisons que je tente sans succès de comprendre, ces deux individus n'ont jamais voulu faire appel à moi pour que je leur explique comment réaliser un site web sur le camping municipal de notre village. Au lieu d'accepter mon offre, ils persistent à m'insulter. Drouot m'avait même envoyé l'email suivant :
On voit que cet homme n'aime ni le concitoyen
William ni son Mac.
J'ai des kilos de documents qui montrent leur mauvaise foi à mon égard. Je parlerais même d'une sorte de haine viscérale. Je ne vois pas pourquoi ils seraient des xénophobes, mais c'est un terme horrible qui me vient souvent à l'esprit.
Une fois, quand j'avais tenté d'expliquer à la mairesse que son adjoint avait fait appel à un service israélien parfaitement honorable,
Wix, cette dame m'avait répondu sèchement et bêtement que j'étais probablement antisémite ! C'était une insulte incompréhensible à l'égard d'un grand amateur de la religion juive et de l'hébreu moderne. (Mon fils
François pourrait affirmer ce que je viens de dire.) J'ai même fait paraître un roman en anglais sur cette culture :
All the Earth is Mine, publié chez moi par
Gamone Press.
Dans un premier temps, j’avais cru naïvement que les lois de notre République ne permettraient pas à deux élus d’insulter fréquemment un citoyen respectable de mon âge. Hélas, j’avais tort. Ils ont parfaitement le droit, paraît-il, de cracher tout le venin puant qu'ils souhaitent vomir. Si je comprends bien, seule une offense physique infligée par ces deux énergumènes me permettrait de poser des plaintes contre eux. Voilà donc pourquoi j’ai fini par penser que la seule approche possible consisterait à signaler ici, en toute simplicité, leurs bêtises. Dont acte.
Tout ça, c'est de la folie d'individus intelligents mais désagréables à mon égard. Des individus dont les comportements absurdes confirment qu'ils ne méritent pas de rester des élus de la Nation. Plus rien à dire.