Il faut faire un effort énorme pour comprendre l’acte de l'Anglais
Khalid Masood. Il est terriblement facile de dire que c’était l’Islam qui a rendu fou cet homme de 52 ans, né dans le comté de Kent, l’amenant à conduire sa voiture dans la foule. Autrement dit, on se demande si le fait d’abolir tous les croyants comme lui mettrait fin aux actes de folie. Des dizaines de milliers de braves Anglais innocents pratiquant l'Islam vont sans doute subir les conséquences terribles de cette conclusion ridicule.
Non, ce raisonnement absurd met la charrue devant les bœufs. Ce n'est pas la religion qui a poussé cet homme dérangé vers son acte. Il était déjà fou, cherchant depuis toujours une manière et une occasion de s'ériger vers la gloire. Et ce sont les événements qui ont débuté à Nice qui lui ont offert une idée en or. Si Khalid avait été un employé modèle avec une gueule d'Ecossais, sa folie n'aurait jamais pu marcher. Mais la situation était parfaite pour un fou ayant le profil de Khalid : nom arabe, physique sans doute parfaite, etc. Le pauvre Masood a donc décidé sans hésitation qu'il fallait saisir cette occasion trop bonne pour son esprit malade. Il aurait aimé survivre, sans doute, pour apprécier la "gloire" d'être devenu un assassin. Mais non, pas de peau. Le pauvre malade Masood devait forcément se sacrifier pour qu'il transforme sa gueule insipide en celle d'un "héros" tout aussi inintéressant.
Décidément, le pauvre con sans imagination
a raté totalement sa vie,
mais "réussi" sa mort.