Cela dit, le premier numéro du machin "burlesque" volait tout de même au ras des pâquerettes, comme s'il avait été confectionné à la hâte, pour remplir un trou. J'ai été choqué notamment par le fait que cette esquisse d'émission (morte-née) de Sébastien ose se moquer d'un collègue, Laurent Delahousse, qui portait en permanence un spray pour ses cheveux, et prend sans cesse des poses. Dans le domaine-là de l'auto-satisfaction, Patrick Sébastien dépasse Delahousse de loin. Bref, cette émission m'a intrigué, voire amusée, le temps d'une soirée... qui était exactement le temps qu'elle méritait, ni plus ni moins.
No comments:
Post a Comment